Pour de nombreux propriétaires bailleurs, louer un bien immobilier peut rapidement se transformer en un véritable parcours du combattant. Entre refus de quitter les lieux, impayés de loyer ou production de faux documents, les litiges avec des locataires indélicats se multiplient. Et quand il s’agit de récupérer son logement ou son dû, les procédures sont longues, coûteuses, et bien souvent désespérantes.
Voici un tour d’horizon de ces situations qui poussent certains propriétaires à bout. Il s’agit d’articles récents publiés par le site de Capital.
Locataires refusant de quitter le logement
Pour Olivier, propriétaire d’un appartement à Créteil, la situation est devenue infernale lorsque son locataire a refusé de quitter les lieux après la fin de son bail. Malgré un congé donné dans les règles, le locataire a décidé de rester, prétextant ne pas avoir trouvé d’autre logement. Olivier, désemparé, n’a d’autre choix que de saisir un juge pour faire constater la résiliation du bail et obtenir une ordonnance d’expulsion. Mais entre la saisine du juge, l’intervention d’un commissaire de justice, et la demande de concours de la force publique, les mois s’accumulent. Une situation malheureusement fréquente, aggravée par l’engorgement des juridictions. (Source: Article de Capital du 10/03/2025)
Les faux documents et les impayés : une double peine pour les propriétaires
Pour Aline, propriétaire d’un appartement à Lyon, les ennuis ont commencé lorsqu’elle a découvert que sa locataire avait fourni de faux bulletins de salaire pour obtenir le logement. Mais le pire était à venir : la locataire a rapidement cessé de payer le loyer, plongeant Aline dans une situation financière critique. Si l’usage de faux est théoriquement répréhensible, engager une procédure pénale est complexe et bien souvent inefficace. La seule option réellement envisageable reste l’action en justice pour impayés, mais là encore, les délais sont longs et l’issue incertaine. (Source: article de Capital du 13/05/2025)
La procédure de surendettement : une impasse pour les propriétaires
Dans une petite commune d’Auvergne, le maire s’est retrouvé confronté à un locataire ayant accumulé plus de 7 000 euros d’impayés avant de déposer un dossier de surendettement. Résultat : la dette locative a été purement et simplement effacée par la commission de surendettement. Pire encore, le locataire a continué d’accumuler des impayés tout en déposant un second dossier de surendettement, qui a de nouveau été accepté. Pour cette petite commune de 1 000 habitants, la situation est intenable. La réglementation actuelle apparaît largement en faveur des locataires, laissant les propriétaires démunis face à ce type d’abus. (Source: article de Capital du 14/03/2025)
Des pertes financières considérables
Pour Romain, propriétaire d’un appartement en Haute-Savoie, le calvaire se chiffre déjà à près de 25 000 euros en impayés de loyers et frais judiciaires. Malgré plusieurs commandements de payer délivrés par un huissier, son locataire continue de se maintenir dans les lieux sans rien verser. Les délais d’attente avant une audience judiciaire sont interminables, et même si la décision est favorable, l’expulsion effective ne pourra pas avoir lieu avant la fin de la trêve hivernale. Une situation qui plonge Romain dans une véritable impasse financière. (Source: article de Capital du 06/03/2025)
La solution proposée par Betterloc : un bail civil plus sécurisé pour les propriétaires
Face à ces difficultés récurrentes, Betterloc propose une solution alternative : un bail civil, distinct des baux d’habitation traditionnels. Dans ce type de contrat, le locataire est une entreprise qui ne bénéficie pas des mêmes protections légales qu’un locataire particulier. Si l’entreprise manque à ses devoirs, comme en cas de non-paiement du loyer, une simple procédure de référé permet de faire valoir les droits du propriétaire et d’obtenir une expulsion rapide.
Outre cette garantie contre les loyers impayés, le bail civil proposé par Betterloc offre d’autres avantages aux propriétaires bailleurs : pas de vacance locative, durée de bail libre et pas de protection excessive du locataire. En contre-partie, le bail permet de sous-louer le bien pour de la courte ou moyenne durée, de manière légale et encadrée. Enfin, le bien devenant un outil de travail pour l’entreprise de sous-location, il est entretenu constamment, pour garantir un accueil irréprochable pour chaque voyageur. Donc à la fin du bail, le propriétaire récupère son bien en parfait état.
Avec Betterloc, les propriétaires bénéficient d’une sécurité renforcée. Le bail civil offre une alternative rassurante qui permet d’éviter les écueils d’une procédure longue et complexe. Pour ceux qui cherchent à louer leur bien en toute sérénité, cette solution mérite d’être sérieusement considérée.